My small essay on Proust and Duras but in french though
by Kyle
Hope you will get a laugh out of this if you read it.
Comment Proust et Duras jouent sur l’image de souvenir
Je voudrais élaborer le rôle de souvenir sur la perspective des deux personnages, Marcel et Anne. On sait que dans leurs histoires, le souvenir de Marcel domine dans sa vie sa curiosité et son intérêt, qui évoquent une recherche du temps de son enfance longtemps perdu, ainsi que celui de Anne sur le crime l’amène, à cause de sa curiosité et son intérêt, sur un voyage de désir et amour. Il voudrait être intéressant de voir quelle image présentent leurs souvenirs et comment ceux-ci affectent ses consciences présentes.
D’abord, il est évident que dans les deux contextes, le rôle de souvenir figure très différent selon le récit de Marcel où il définisse deux domaines des souvenirs, le volontaire et l’involontaire. Ce qui intéresse Marcel, c’est le souvenir involontaire et "caché hors de son domaine""(p.44 du côté..). Dans le domaine inconscient, grâce au thé et au gâteau, il faut par chance faire surgir le sentiment réel que Marcel lui-même s'était senti pendant son enfance, mais ne pouvais pas reconnaître. Ce souvenir est lié à la forte jouissance, peut-être à son désir inconscient. Selon son idée, il y a certains souvenirs couchant sous la surface de conscience à qui on ne peut pas avoir accès de force, et ça "dépend du hasard que nous le rencontrions." En outre, Marcel pensait que le processus de chercher le souvenir perdu est en même temps celui de le "créer"(p.45 du côté..); c'est à dire probablement que son présent état affecte ou change le souvenir du passé ou vice versa tout en l'éveillant.
Pour Anne DesBaresdes, son souvenir de ce crime sert du rôle plus dynamique et plus fortement lié à ce qui se passera entre lui et Chavin, ainsi que le souvenir de Chavin à propos de la maison d'Anne DesBaresdes. D'abord, elle s'éloigne de ce crime, comme spectatrice, ne sent aucun intérêt que la curiosité de le savoir, parce que ce crime n'est pas normal et le criminel est l'amant de cette femme touée. Sa curiosité la mène à découvrir leur passion qu'elle désire et qu'elle ne veut pas éprouver chez son mari. Dans les rendez-vous avec Chavin dans un café, peu à peu elle mêle son propre souvenir à ce crime. Par exemple, quand ils parlent de ce cri sortant de cette femme mourante, elle se souvient de son enfantement (p.41-42 Mderato Cantabile). Tout en parlant avec Anne DesBaresdes, Chavin la connaît très bien et de la même façon se confond de plus en plus avec l'assassin. Tout les deux inventent l'histoire du couple amant et arrivent à le remplacer. Donc, par l'intermédiaire de leur désire sexuel, ce souvenir de ce crime se transforme en quelque chose de personnelle. Autrement dit, ils "créent" leur propre souvenir guidé selon l'événement criminel par leur désir sexuel.
Je voudrais proposer l'idée que pour Marcel et Anne, on peut jouer un rôle actif pour "créer" leur propre souvenir, bien que le sens de "créer" soit différent dans leurs cas. Ce n'est pas la chose extérieure (le thé et le Petite Madeleine, ou le crime) qu’importe, c'est "l'essence précieuse"(p.45 du côté..) qui vraiment change la facette du vérité et le métamorphose en quelque chose de personnelle. Ca veut dire l'amour et le désir qui colorent et transforment le souvenir du fait de l'événement. Dans ce sens, le souvenir n’est pas une chose fixe, mais quelque chose qui joue un rôle actif dans le domaine spirituel.
Hope you will get a laugh out of this if you read it.
Comment Proust et Duras jouent sur l’image de souvenir
Je voudrais élaborer le rôle de souvenir sur la perspective des deux personnages, Marcel et Anne. On sait que dans leurs histoires, le souvenir de Marcel domine dans sa vie sa curiosité et son intérêt, qui évoquent une recherche du temps de son enfance longtemps perdu, ainsi que celui de Anne sur le crime l’amène, à cause de sa curiosité et son intérêt, sur un voyage de désir et amour. Il voudrait être intéressant de voir quelle image présentent leurs souvenirs et comment ceux-ci affectent ses consciences présentes.
D’abord, il est évident que dans les deux contextes, le rôle de souvenir figure très différent selon le récit de Marcel où il définisse deux domaines des souvenirs, le volontaire et l’involontaire. Ce qui intéresse Marcel, c’est le souvenir involontaire et "caché hors de son domaine""(p.44 du côté..). Dans le domaine inconscient, grâce au thé et au gâteau, il faut par chance faire surgir le sentiment réel que Marcel lui-même s'était senti pendant son enfance, mais ne pouvais pas reconnaître. Ce souvenir est lié à la forte jouissance, peut-être à son désir inconscient. Selon son idée, il y a certains souvenirs couchant sous la surface de conscience à qui on ne peut pas avoir accès de force, et ça "dépend du hasard que nous le rencontrions." En outre, Marcel pensait que le processus de chercher le souvenir perdu est en même temps celui de le "créer"(p.45 du côté..); c'est à dire probablement que son présent état affecte ou change le souvenir du passé ou vice versa tout en l'éveillant.
Pour Anne DesBaresdes, son souvenir de ce crime sert du rôle plus dynamique et plus fortement lié à ce qui se passera entre lui et Chavin, ainsi que le souvenir de Chavin à propos de la maison d'Anne DesBaresdes. D'abord, elle s'éloigne de ce crime, comme spectatrice, ne sent aucun intérêt que la curiosité de le savoir, parce que ce crime n'est pas normal et le criminel est l'amant de cette femme touée. Sa curiosité la mène à découvrir leur passion qu'elle désire et qu'elle ne veut pas éprouver chez son mari. Dans les rendez-vous avec Chavin dans un café, peu à peu elle mêle son propre souvenir à ce crime. Par exemple, quand ils parlent de ce cri sortant de cette femme mourante, elle se souvient de son enfantement (p.41-42 Mderato Cantabile). Tout en parlant avec Anne DesBaresdes, Chavin la connaît très bien et de la même façon se confond de plus en plus avec l'assassin. Tout les deux inventent l'histoire du couple amant et arrivent à le remplacer. Donc, par l'intermédiaire de leur désire sexuel, ce souvenir de ce crime se transforme en quelque chose de personnelle. Autrement dit, ils "créent" leur propre souvenir guidé selon l'événement criminel par leur désir sexuel.
Je voudrais proposer l'idée que pour Marcel et Anne, on peut jouer un rôle actif pour "créer" leur propre souvenir, bien que le sens de "créer" soit différent dans leurs cas. Ce n'est pas la chose extérieure (le thé et le Petite Madeleine, ou le crime) qu’importe, c'est "l'essence précieuse"(p.45 du côté..) qui vraiment change la facette du vérité et le métamorphose en quelque chose de personnelle. Ca veut dire l'amour et le désir qui colorent et transforment le souvenir du fait de l'événement. Dans ce sens, le souvenir n’est pas une chose fixe, mais quelque chose qui joue un rôle actif dans le domaine spirituel.